Un séminaire qui a rassemblée des éminences grises venues des quatre coins du monde : Professeur Tost de l’université autonome de Barcelone, Carlos Villanes du Chili, Moussa Daaf de l’université Cheik Anta Diop de Dakar, Dolores Alvarez directrice de l’union Latine, Annik Dalmeda directrice de l’organisation internationale de la francophonie à Paris pour ne citer que…
En effet, l’ENS a abrité du 15 au 18 mai dernier le séminaire organisé par l’Union Latine en collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) sur le thème : « L’intercompréhension : un outil pour le plurilinguisme ».
Ce séminaire qui a enregistré la participation d’une cinquantaine d’auditeurs, a permis aux exégètes de la langue Latine d’offrir de véritables cours magistraux aux auditeurs qui se bousculaient au portillon des salles de cours prévues à cet effet. Les experts présents à Abidjan ont donné une vue d’ensemble qui permet d’appréhender les diverses réalités linguistiques analysées à partir de points de vues théoriques (disciplinaires) et géopolitiques (expérientiels) différents. Le séminaire portant sur l’intercompréhension : un outil pour le plurilinguisme a été une plateforme d’échanges et d’investigations sur le présent et le futur des langues latines en Afrique.
Constats, recherches et perspectives, ont été rédigés dans au moins six langues et permettront d’élucider les rapports que ces langues entretiennent entre elles et avec celles des autres familles de langues dans d’autres espaces linguistiques.
Article publié le 02/05/2012 - Lu 4366 fois
